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Peut-on travailler avec une névralgie cervico-brachiale ?

La névralgie cervico-brachiale est la conséquence d’une compression neurovasculaire entre la clavicule, la première côte et les muscles associés. L’adoption de mauvaise posture dans son activité professionnelle peut provoquer des douleurs irradiantes. Ces dernières sont si intenses qu’elles nécessitent un traitement conséquent pour se racheter de tous ces maux qui empêchent les mouvements et même le travail très rapidement. Toutefois, cette radiculopathie cervicale est identifiée très souvent comme bénigne. Peut-on toujours continuer son activité professionnelle en étant souffrant d’une névralgie cervico-brachiale ? Cet article répond à cette interrogation avec beaucoup de détails sur le sujet.

Névralgie cervico-brachiale : qu’est-ce que c’est ?

La névralgie cervico-brachiale (NCB) constitue en réalité une compression irradiante dont est victime le nerf du cou longe tout le bras. Communément, ce nerf est connu sous le nom de « sciatique du bras » ou « sciatique du cou » en ce sens qu’il touche le cou, l’épaule, la clavicule et le bras. Cette affection peut être générale (touche aux deux côtés) ou unilatérale (attaque un seul côté du haut du corps).

Très souvent, une NCB est la conséquence directe d’une lésion sur l’un des vertèbres cervicales du 4e au 8e. Les douleurs qui en découlent peuvent se déclencher subitement ou être permanentes. Pour cela, nombre de personnes se préoccupent de savoir si elles peuvent travailler avec une NCB dans une telle situation. À l’instar des lombo-sciatiques et les lombalgies, la névralgie cervico-brachiale est l’objet d’une consultation en rhumatologie.

Qui est plus exposé à une névralgie cervico-brachiale ?

C’est une affection qui touche généralement des patients adultes jeunes ou dont l’âge dépasse les 50 ans et qui souffre d’arthrose. Cette douleur se manifeste par un engourdissement et par courant électrique du haut bras. Une quinte de toux ou un simple éternuement est largement suffisant pour déclencher une contraction qui propulse cette douleur atroce. Les cas les plus sévères conduisent à la paralysie du bras et des doigts du patient.

En outre, pour diagnostiquer la NCB, vous avez fait une radiographie ou une IRM. Ce sont les individus qui sollicitent plus le haut du corps qui est exposé à cette maladie bénigne. Heureusement, il existe des solutions adéquates et performantes pour traiter ce mal qui, au-delà du physique, ronge l’esprit et sauvegarde une meilleure qualité de vie.

D’où provient la NCB ?

La liste des causes à la base d’une névralgie cervico-brachiale n’est pas exhaustive. La NCB est une affection qui cible très facilement et rapidement les personnes souffrantes d’une hernie cervicale ou discale ainsi que les séniors déjà exposés à une arthrose cervico-brachiale. La compression du disque est un élément déclencheur de la douleur. De plus, un cancer, une infection virale ou un diabète mal traité peuvent être la source d’une névralgie cervico-brachiale.

En fonction de l’âge du patient, cette hernie cervicale est malléable. Elle se manifeste d’abord par un traumatisme physique relatif à un sinistre sportif ou de voiture. Une activité physique ou professionnelle trop intense entre également dans la catégorie des causes d’une NCB. En outre, la vieillesse cause déjà une usure de disques intervertébraux souvent chez les personnes exposées à une hernie discale. En principe, une névralgie cervico-brachiale est sans grand danger, mais quand elle entraîne une neuropathie ou une tumeur capable de toucher aux fonctions vitales.

Peut-on continuer l’exercice de sa profession avec une NCB ? Quels sont ses symptômes ?

Le symptôme le plus imminent d’une NCB est la douleur qui ne ménage aucun effort pour se propager le long du nerf comprimé. Liée à des sensations de décharges électriques ou d’actinite étranges et unilatérales, cette affection donne un ressenti vif et persistant. Il peut y avoir la manifestation des signes comme :

  • Raidissions de la nuque ;
  • Poussées lancinantes paroxystiques ;
  • Ankylose, démangeaison ; perte de sensibilité ;
  • Perte de mobilité du cou ;
  • Paralysie partielle ou complète ;
  • Névralgie d’Arnold, maux de tête ;
  • Vertiges.

En considérant tous ces symptômes liés à la névralgie cervico-brachiale, il y a vraiment lieu de se demander s’il est possible de travailler avec cette affection. Il est possible de travailler avec une CNB moins handicapante et moins douloureuse. Cependant pour les cas plus sérieux, cela nécessite l’arrêt de travail durant 15 à 42 jours et une réadaptation des conditions de travail.

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